Surtout, surtout, ne faites jamais l'erreur...
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Surtout, surtout, ne faites jamais l'erreur...
... de faire construire, ça c'est sûr, tout le monde vous le dira, mais personne ne semble le comprendre. D'ailleurs ce n'est pas rendre service aux gens de leur dire que c'est quand même des soucis la construction. Il faut les avertir clairement : c'est l'enfer ! Vous ferez l'erreur de votre vie !
Bon, si jamais (un moment d'inattention est vite arrivé, on se laisse souvent distraire par la gent féminine qui sait s'y prendre, c'est clair...) si jamais cela devait venir à arriver, surtout, surtout, ne faites jamais la deuxième erreur de prendre des planches de rive en bois (sous un prétexte bidon du genre que c'est moins cher et qu'on peut avoir toutes les couleurs, assorties au crépis et aux gouttières...). Je sais, à première vue, ça a l'air assez anodin. Mais retenez bien ceci : le PVC c'est bien. Je répète : le PVC c'est bien, et puis c'est tout. Mais ça, seuls ceux qui ont commis les deux erreurs précédentes et la suivante peuvent le comprendre.
Et enfin, si jamais vous êtes assez inconscients pour, dans la même vie, faire construire et choisir des planches de rive en bois, surtout, surtout, ne pensez pas que finalement ce n'est pas grand chose de passer trois coups de pinceau. C'est vraiment, vraiment, vraiment pénible de se retrouver perché au bout d'une échelle (trop courte, naturellement) avec la perche télescopique à bout de bras, à se tortiller pour aller dans tous les recoins sous les tuiles, avec la peinture qui coule le long du pinceau, sur le bras et le visage... Et encore, ce ne serait rien si vous n'aviez pas oublié de protéger un tout petit bout d'appui de fenêtre qui bien entendu va recevoir sa grosse tache bien incrustée dans le béton bien poreux, que des heures d'astiquage minutieux ne sauront totalement éliminer....
Bon, on râle, on râle, mais vous me direz, jusque là, on est encore du bon côté de la limite du supportable. Suffit d'être prévu, et de prendre à temps les bonnes précautions. Soit. Je le sais, j'en suis à ma deuxième couche, je commence à comprendre le système (il en reste en théorie une troisième, mais elle semble de plus en plus compromise, vu ce qui suit). Je vous passe les temps de nettoyage des divers outils/vêtements/morceaux de peau (oui, même sous le T-shirt !) Mais là où on atteint le summum de l'apothéose de l'énorme ras-le-bol, c'est quand même quand, l'air de rien, en passant, comme ça, sur le chantier, le lundi matin, remettre un peu d'ordre, on se renverseun peu un pot (!) de peinture dans le coffre ! Et là, on comprend vraiment toute l'ampleur de la longue série d'erreurs évoquée plus haut.
Alors vous savez ce qu'il vous reste à (ne pas) faire...
Julien, peintre du samedi, repeint du lundi... Vert ! (enfin... gris...)
Bon, si jamais (un moment d'inattention est vite arrivé, on se laisse souvent distraire par la gent féminine qui sait s'y prendre, c'est clair...) si jamais cela devait venir à arriver, surtout, surtout, ne faites jamais la deuxième erreur de prendre des planches de rive en bois (sous un prétexte bidon du genre que c'est moins cher et qu'on peut avoir toutes les couleurs, assorties au crépis et aux gouttières...). Je sais, à première vue, ça a l'air assez anodin. Mais retenez bien ceci : le PVC c'est bien. Je répète : le PVC c'est bien, et puis c'est tout. Mais ça, seuls ceux qui ont commis les deux erreurs précédentes et la suivante peuvent le comprendre.
Et enfin, si jamais vous êtes assez inconscients pour, dans la même vie, faire construire et choisir des planches de rive en bois, surtout, surtout, ne pensez pas que finalement ce n'est pas grand chose de passer trois coups de pinceau. C'est vraiment, vraiment, vraiment pénible de se retrouver perché au bout d'une échelle (trop courte, naturellement) avec la perche télescopique à bout de bras, à se tortiller pour aller dans tous les recoins sous les tuiles, avec la peinture qui coule le long du pinceau, sur le bras et le visage... Et encore, ce ne serait rien si vous n'aviez pas oublié de protéger un tout petit bout d'appui de fenêtre qui bien entendu va recevoir sa grosse tache bien incrustée dans le béton bien poreux, que des heures d'astiquage minutieux ne sauront totalement éliminer....
Bon, on râle, on râle, mais vous me direz, jusque là, on est encore du bon côté de la limite du supportable. Suffit d'être prévu, et de prendre à temps les bonnes précautions. Soit. Je le sais, j'en suis à ma deuxième couche, je commence à comprendre le système (il en reste en théorie une troisième, mais elle semble de plus en plus compromise, vu ce qui suit). Je vous passe les temps de nettoyage des divers outils/vêtements/morceaux de peau (oui, même sous le T-shirt !) Mais là où on atteint le summum de l'apothéose de l'énorme ras-le-bol, c'est quand même quand, l'air de rien, en passant, comme ça, sur le chantier, le lundi matin, remettre un peu d'ordre, on se renverse
Alors vous savez ce qu'il vous reste à (ne pas) faire...
Julien, peintre du samedi, repeint du lundi... Vert ! (enfin... gris...)
Julien_D- Guilde
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Guilde : Takoyaki !
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